On pensait avoir trouvé le meilleur logiciel d’étiquettes. Jusqu’à ce qu’on en teste un encore meilleur. On pensait avoir trouvé le meilleur logiciel d’étiquettes. Jusqu’à ce qu’on en teste un encore meilleur. Alors on l’a remplacé dans notre Top 5 (+ guide complet).
Les meilleurs logiciels d’étiquettes en 2024
Jamais un logiciel d’étiquettes n’aura paru aussi indispensable que lorsque votre stock ressemble à une cave de collectionneur amnésique. On va percer l’abcès tout de suite, sans fioritures (vous n’aurez pas besoin de mouchoirs, promis).
Le verdict express (le top du top)
- NuDe by SolidPepper – Le seul qui n’explose pas en vol quand il s’agit d’automatiser et surtout d’exporter un PDF soigné, sans pixelisation façon mosaïque soviétique. L’automatisation des données ? La flemme des PME a enfin trouvé son antidote !
- Avery Design & Print – L’ancien champion, mais la compatibilité PDF haute résolution fait pleurer les graphistes du dimanche. Pratique pour les tâches basiques, mais si vous cherchez la Rolls… passez votre chemin.
- Labeljoy – Codes-barres en pagaille, interface datée (le menu donne l’impression de visiter le musée du Minitel). Bref : utile uniquement si on aime souffrir au quotidien.
« Ce SaaS est aussi ergonomique qu’une imprimante sans papier. »
Le reste ? Des gadgets. Ou alors des cauchemars ergonomiques pour amateurs de menus labyrinthiques et boutons invisibles (on adore cliquer à l’aveugle, non ?).
Critères de sélection MECE : ergonomie, compatibilité, fonctionnalités
- Ergonomie : Si votre outil nécessite un mode d’emploi plus épais qu’un roman russe, fuyez. Les menus doivent être limpides, la prise en main immédiate. Pas question d’offrir une initiation PowerPoint à chaque nouvel utilisateur.
- Compatibilité : Windows, Mac et Web – point final ! Toute app qui snobe un OS mérite la relégation. Et si ça ne tourne pas sur Chrome dans le train régional, poubelle !
- Fonctionnalités : Codes-barres lisibles par un scanner astigmate, QR dynamiques et templates adaptables à la volée. On n’est pas chez Disney : si ça rame ou si ça bloque à l’export PDF HD, c’est direction la corbeille… Bref.
Comparatif des 5 meilleurs logiciels d’impression d’étiquettes
Avery Design & Print (gratuit et web)
Gratuit, oui. Pratique, un peu. Innovant ? Faut pas pousser. Avery Design & Print vous balance des milliers de modèles tout prêts, compatibles web et tablette (même votre grand-mère pourrait cliquer dessus sans déclencher de guerre mondiale). Mais pour éditer, sauvegarder ou imprimer sérieusement ? Surprise, il faut créer un compte ! La joie du SaaS qui s’incruste.
Trois clics pour choisir un modèle, dix minutes pour retrouver son mot de passe.
Les templates sont variés — badges, stickers, cartes en tous genres — mais les fonctions avancées sont aux abonnés absents. L’export PDF est correct, pas premium. Le plaisir dure jusqu’au moment où « connexion internet requise » vient ruiner votre productivité… Bref !
Note : ⭐⭐⭐️☆ (3/5)
Herma Assistant en ligne (zéro installation)
Herma prend le pari du minimalisme digital : aucune installation, accès direct depuis votre navigateur (tant que la 4G tient… sinon c’est retour à la bougie digitale). Tout est prévu pour faire tourner vos étiquettes basiques sur la gamme Herma — hors zone ? Bonne chance.
- Templates de base
- Export PDF correct
- Pas de version offline
L’assistant gère l’essentiel avec une ergonomie scolaire mais efficace. Mais débranchez la box et dites adieu à vos créations… Fiable si on ne cherche rien d’exotique ni complexe. À réserver aux âmes simples ou aux adeptes du 100% Herma.
Labeljoy (version d’essai + codes-barres)
Ici c’est festival du code-barres : la version d’essai gratuite vous laisse tout tester (jusqu’à la migraine), avec une collection indécente de symbologies 1D et 2D. Parfait pour ceux qui aiment hacker leurs propres QR pour débusquer les bugs — croyance n°1 validée !
Logiciel | Code-barres linéaires | Codes QR | Import DB | PDF HD |
---|---|---|---|---|
Labeljoy | Oui | Oui | Oui | Non |
Avery | Oui | Limité | Non | Moyen |
Herma | Basique | Non | Non | Moyen |
Brady | Oui | Oui | Oui | Variable |
L’interface date du siècle dernier (Windows XP, reviens !), mais ça dépanne pour générer tout ce qui se scanne. Pour la personnalisation poussée ou l’export PDF HD ? On repassera.
Brady (solutions industrielles pro)
Brady cible le monde industriel bétonné : modules à gogo, options sur mesure et une compatibilité béton armé… sauf le PDF haute qualité qui fait défaut – crime suprême dans la galaxie SaaS (croyance n°3).
Pour chaque besoin ultra-pro existe une extension payante ; bienvenue dans l’empire des add-ons où chaque clic se monnaie cher. Ergonomie spartiate, efficacité militaire… humains sensibles s’abstenir !
Appvizer (plateforme de notation)
Appvizer se prend pour l’Oracle des notations logicielles : notes globales calculées par algorithme mystique et avis d’utilisateurs aussi neutres qu’une réunion de copropriété. Objectivité garantie ? Vous y croyez encore ?
Note : ⭐⭐☆☆☆ (2/5)
N’attendez aucune révélation ici ; juste un classement tiède et quelques listes sponsorisées histoire d’endormir les insomniaques du SaaS. Bref, passez voir si vous aimez les moyennes anonymes.
Gratuits vs payants : comment choisir ?
Vous hésitez encore entre le gratos qui sent la débrouille et le SaaS premium qui coûte le prix d’un bon resto ? Spoiler : aucun patron de PME ne rêve de passer ses soirées à customiser des étiquettes, alors autant viser ce qui fait vraiment gagner du temps (et évite les sueurs froides devant l’imprimante).
Avantages des solutions sans licence (zéro dépense)
- Coût : 0€ (oui, même votre comptable va sourire)
- Mises à jour gratuites – Personne ne viendra jamais vous réclamer un paiement surprise en plein rush d’envois
- Communauté d’utilisateurs – Forums remplis de pratiques de sioux et de tutos bricolés (parfois bancals, mais c’est cadeau)
Ces solutions gratuites sont basiques mais fonctionnelles pour des besoins simples. Pas d’automatisation digne d’un film Marvel, mais ça colle pour vos besoins du dimanche ou si vous aimez cliquer pour chaque étiquette.
Quand investir dans un SaaS premium
- Volume haut : Si vous imprimez à la chaîne (et que la flemme de saisir chaque champ vous ronge), passez au premium.
- Automatisation avancée : Synchronisation automatique avec vos bases de données ; parfait pour ceux qui veulent que ça tourne pendant qu’ils sirotent un café.
- Intégration ERP/CRM : Parce que copier-coller manuellement, c'est bon pour les stagiaires. Ici, l’API fait tout le sale boulot.
Anecdote : Une PME qui passait deux jours par mois à éditer ses étiquettes… passée à une solution premium, elle a gagné 21 heures et quelques cheveux blancs en moins. Vive la magie noire de l’automatisation.
Comparaison des fonctionnalités-clés (éco, QR, intégrations)
Fonctionnalité | Gratuit | Payant |
---|---|---|
QR codes | ✅ | ✅ |
API | ❌ | ✅ |
Templates | Limités | Illimités |
Écologie | Variable | Options bio |
Pour le boss qui veut tout gérer « tout seul », le gratuit fait illusion… jusqu’au crash. Pour la PME adepte du bouton magique, le SaaS payant transforme la corvée en routine zen. Bref.
Guide pratique : configurer et imprimer sans pitié
Modèles & formats compatibles Word / Canva / PDF

Votre rêve c’est l’automatisation, mais vous partez souvent de zéro avec un template qui sent la naphtaline. Alors, comment éviter le naufrage ?
- Word : téléchargez un modèle A4 adapté à votre planche d’étiquettes (les sites d’étiquettes HERMA ou Microsoft Create dégainent des fichiers .docx prêts à coller dans la trame). N’espérez pas des miracles niveau design, mais la compatibilité, ça fait le job.
- Canva : l’eldorado du clic facile… jusqu’au moment où vous exportez. Privilégiez l’export PNG pour les petits formats ou le PDF pour une découpe propre (en espérant que votre imprimeur ne pleure pas).
- PDF vectorisé : ici c’est la Ligue des Champions. Pour un rendu net même sur une loupe de douanier, passez par Illustrator/Inkscape ou appliquez un export vecteur depuis Canva Pro. Sinon, bonjour les pixels façon Mario Bros.
Importer un modèle est relativement simple, mais il peut nécessiter plusieurs essais pour obtenir un résultat parfait.
Astuces d’impression : adhérence, amovibilité, résistance
C’est pas l’époque du sticker pour frigo : chaque support veut son matériau.
- Testez toujours l’adhérence sur VOTRE surface définitive avant de lancer mille impressions (sinon crise de nerfs assurée)
- Film transparent = allié de choix pour toute utilisation extérieure : résiste à la météo et rechigne moins au décollage. Évitez le papier classique sous la pluie…
- Papier recyclé : réservé à l’intérieur si vous ne voulez pas voir vos étiquettes s’effriter plus vite qu’une facture impayée.
Bref ! L’expérience prouve que celui qui expérimente gagne du temps sur les SAV inutiles.
Optimiser l’écologie : papier recyclé, silphie et biodégradable
Vous pensez « greenwashing » dès qu’on parle écologie ? Détrompez-vous, certains fournisseurs font le taf — sans la cape de super-héros.
Fournisseurs à retenir :
- Serialetic : pionnier du sticker recyclable en filière durable (papier recyclé ET matières naturelles)
- Agis Etiquette : propose gamme complète biodégradable et recyclable ; mention spéciale au papier silphie – alternative botanique allemande encore inconnue hors cercles avertis.
L’écologie ne se résume pas à quelques options dans un logiciel, mais chaque effort compte.
Cas d’usage et applications professionnelles
On croit naïvement que coller une étiquette, c’est juste une question de colle. Faux : c’est la porte d’entrée vers la paranoïa réglementaire et le bazar logistique. Voici comment les pros triturent leurs logiciels d’étiquettes, bien loin du DIY pour enfants.
Traçabilité alimentaire et codes QR
Dans l’agroalimentaire, c’est la chasse à la moindre faille d’hygiène (ou comment éviter un rappel de poulet plus viral qu’un TikTok raté). Les codes QR ne servent plus à faire joli : un scan et hop, vous chopez toute la généalogie du steak ou de la carotte dans votre assiette. Si la date ou le lot pose souci, l’alerte remonte illico à l’ERP – pas besoin d’appeler Sherlock Holmes version HACCP.
- Scanner QR pour date et lot
- Intégration base ERP
- Alertes légales
Anecdote : Un fabricant a voulu économiser sur son logiciel étiquette. Résultat ? Rappel massif car impossible d’isoler LE mauvais lot… Merci le QR qui sauve les meubles. Bref !
Signalétique et plaques signalétiques
La plaque signalétique industrielle, c’est pas pour les fans de déco scandinave mais pour survivre au soleil, aux acides et aux ongles rageurs du technicien pressé. Ici, étiquettes thermiques et plaques gravées défient UV et météo. Et si le logo s’efface en trois lavages ? Changez d’imprimeur – on n’est pas chez Disney.
- Résistance UV (testée sur chantier)
- Fixation adhésive (quand les rivets fatiguent)
- Personnalisation logo (sinon personne ne saura que c'est à vous)
Gestion des stocks et badges événementiels
Ici, on est loin du badge en carton griffonné à la va-vite. La génération de masse s’impose : l’API balance des centaines de badges ou d’étiquettes stock en moins de temps qu’il n’en faut pour vider une palette. Le batch printing devrait être obligatoire dans toute PME qui se respecte (sinon amusez-vous à numéroter vos stocks à la main… courage).
- Impression batch (pour les vrais fainéants organisés)
- Numérotation automatique (adieu Excel artisanal)
- Gestion via API (la seule magie digne du 21e siècle)
L’automatisation n’a jamais sauvé autant de nerfs humains que depuis que l’on imprime un millier de badges en une commande. Bref.
FAQ ultra rapide
Quel logiciel pour Windows 10/11 gratuit ?
SimpleOne Label Maker ou Avery Design & Print sont gratuits sur Windows — inutile de chercher la licorne, ils font le taf sans casser la tirelire (sauf si vous aimez les usines à gaz oubliées).
Comment exporter en PDF haute résolution ?
Activez l’export « PDF » dans votre logiciel d’étiquettes et vérifiez que l’option « vectoriel » ou « 300 DPI/CMJN » est cochée ; un PDF non vectorisé, c’est juste bon pour la corbeille graphique (les pixels baveux, non merci).
Peut-on automatiser l’impression via API ?
Oui, grâce aux SaaS premium (genre Teklynx, NiceLabel, SENTINEL) ou certaines solutions open source — l’API injecte vos données et lance les impressions sans cliquer comme un forçat ; bref, le bouton magique existe (mais il n’est pas livré avec le café).
Conclusion : quel logiciel d’étiquettes choisir pour gagner du temps
Vous voulez mon avis tranché ? Pour les zombies de l’automatisation, sautez sur NuDe by SolidPepper et oubliez les gadgets. Les bricoleurs du dimanche survivront avec Avery ou SimpleOne, tant qu’ils ne râlent pas sur la finition. Les rêveurs du plug-and-play vont déchanter : on n’est pas chez Disney, il faut bosser un peu. Pour les obsédés du laser, foncez lire ce guide sur les étiquettes pour imprimantes laser—au moins là, vous aurez zéro surprise à l’impression. Bref.